KARAMAT Le monothéïsme pur
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 ARRIVÉE DES DÉLÉGATIONS À MÉDINE

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MessageSujet: ARRIVÉE DES DÉLÉGATIONS À MÉDINE    ARRIVÉE DES DÉLÉGATIONS À MÉDINE  EmptyMer 11 Aoû - 19:04

ARRIVÉE DES DÉLÉGATIONS À MÉDINE






Allah avait fait en sorte que Son Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) règne enfin sur la Mecque et qu’il revienne victorieux de l’expédition de Tabouk. Peu avant, il avait envoyé des lettres aux différents gouverneurs du pays, ainsi qu’aux rois et aux empereurs des états voisins, afin de les inviter à embrasser l’islam. Certaines les reçurent avec beaucoup d’intérêt et ils envoyèrent au Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) des réponses plus que courtoises. D’autres les reçurent avec stupéfaction ou embarras, tandis que d’autres encore les reçurent avec irrévérence. Pour ces derniers, pleins d’arrogance, Allah ne fit pas attendre Son châtiment, qui les atteignit dans leur vie privée, dans leur royaume, ou dans les deux.

La Mecque avait toujours été le centre spirituel et religieux de l’Arabie. C’est pourquoi la soumission des nobles de Qouraish à l’islam eut un impact énorme sur le reste du pays. Les rêves illusoires de ceux qui avaient compté sur Qouraish pour anéantir l’islam s’évanouirent, tandis que ceux qui avaient été indécis depuis le début, attendant l’issue de la lutte entre les musulmans et Qouraish, réalisèrent que l’obstacle potentiel à leur conversion à l’islam avait disparu. Un Indien spécialiste de la sounnah, Mohammed Tahir Patni (mort en 1578) a écrit, dans son ouvrage intitulé Majm’a Behar oul-Anwar:

«C’était l’année des délégations. Comme les nobles de Qouraish étaient leurs chefs religieux et qu’ils étaient également les gardiens de la Maison d’Allah, les tribus arabes avaient adopté comme politique, concernant l’islam, d’attendre de voir ce qui allait se passer avant d’agir. Quand Qouraish décida enfin de se soumettre, la Mecque fut conquise et Thaqif, de son côté, accepta l’islam. Les tribus réalisèrent donc qu’il ne leur serait plus possible de résister à l’ascension de l’islam. Alors des délégations, venant de toutes les régions de l’Arabie, commencèrent à arriver à Médine, et des gens embrassèrent l’islam par légions.»[1]

Ces délégations retournèrent ensuite chez elles, fortes de leur nouvelle foi; elles invitèrent les leurs à l’islam et effacèrent toute trace de paganisme de leur tribu respective.

Une de ces délégations venait d’une tribu importante, celle de Bani Tamim. Elle était accompagnée d’orateurs et de poètes qui convièrent les musulmans à une joute oratoire. Mais le concours ne fit que confirmer la supériorité de l’islam et de ses fidèles. Les chefs et nobles de Bani Tamim la reconnurent, embrassèrent l’islam et retournèrent chez eux les bras chargés de cadeaux offerts par le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui).[2]

Une délégation de Abou ‘Amir vint également à Médine. Bani Sa’ad ibn Bakr envoya Damam ibn Thalaba comme délégué. Il embrassa l’islam et retourna dans sa tribu, déterminé à inviter les siens à l’islam. Lorsque, à son retour, les membres de sa tribu se rassemblèrent autour de lui, la première chose qu’il leur dit fut: «Malheur à al-Lat et à al-Ouzza!» «Pourvu que non, Damam!», s’écrièrent-ils, «attention à la lèpre, à l’éléphantiasis et à la folie!». Damam répondit: «Que le ciel vous confonde! Par Allah, ces idoles ne peuvent ni vous nuire ni vous guérir. Allah a envoyé un messager et lui a révélé un Livre, et c’est ainsi qu’Il vous délivre de l’état dans lequel vous vous trouvez. J’atteste qu’il n’y a pas d’autre dieu qu’Allah et qu’Il n’a pas d’associés, et que Mohammed est Son serviteur et messager. Je viens à vous avec ce qu’il vous commande de faire et ce qu’il vous interdit.» Et pas plus tard qu’à la fin de ce même jour, il ne resta pas un homme ni une femme de sa tribu qui n’eût embrassé l’islam.[3]

Une délégation de Banou Hanifa vint voir le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui). Elle était accompagnée de Mousaylama, le menteur par excellence qui avait embrassé l’islam avant de devenir apostat et de prétendre être lui-même un envoyé divin. Il allait plus tard être tué en se battant contre des musulmans.

Une délégation de Bani Tayy vint également à Médine, accompagnée de son chef et vaillant cavalier, Zaydoul Khayl. Le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) changea son nom pour celui de Zaydoul Khayr[4] et ce dernier se révéla par la suite un musulman loyal, à la foi inébranlable.

‘Adiy, le fils de Hatim, dont la générosité était proverbiale, alla rendre visite au Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui). Impressionné par le comportement courtois et plein d’égards de ce dernier, il embrassa l’islam et dit: «Par Allah, ce n’est pas là la façon dont les rois se comportent.»

Une délégation de Bani Zoubayd vint également voir le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui). Elle était dirigée par ‘Amr ibn M’adikarib, le célèbre guerrier d’Arabie. Al-Ash’ath ibn Qays, quant à lui, vint le voir avec une délégation d’une autre tribu, Kinda. Puis vint la délégation de Azd et les envoyés du roi Himyar, qui apportèrent au Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) une lettre l’informant que leurs tribus avaient décidé d’embrasser l’islam.

Le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) envoya Mou’adh ibn Jabal et Abou Mousa au Yémen afin d’y inviter le peuple à l’islam. Il leur recommanda de leur rendre les choses faciles et non difficiles, d’encourager les gens et de ne pas les effrayer.[5]

Farwa ibn ‘Amr al-Joudhami était le gouverneur de Ma’am et de ses régions voisines, en Syrie, sous les Byzantins. Il envoya un de ses messagers au Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) pour l’informer de sa conversion à l’islam.

Banou al-Harith et Banou Ka’b, qui vivaient dans un territoire connu à l’époque sous le nom de Najran, se convertirent à l’islam en présence de Khalid ibn al-Walid, qui resta avec eux quelque temps pour leur enseigner leur nouvelle religion. Khalid revint à Médine accompagné de représentants de Banou al-Harith. Lorsque ces hommes retournèrent dans leur tribu, le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) leur envoya ‘Amr ibn Hazm pour les encourager dans leur nouveau mode de vie, leur enseigner la sounnah et les rituels islamiques, et aussi pour percevoir d’eux la zakat. Enfin, une autre délégation, de Hamdan cette fois-ci, vint voir le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) pour la même raison.[6]

Par ailleurs, le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) autorisa Moughira ibn Shou’ba à réduire en pièces l’idole al-Lat. Moughira et ses amis s’exécutèrent et de plus, rasèrent complètement l’enceinte qui l’entourait. Après avoir accompli leur tâche, ils revinrent à Médine le jour même et le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) les loua pour cette action.[7]

Lorsque la délégation de ‘Abd al-Qays vint voir le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui), il les reçut avec beaucoup d’égards, mais leur interdit d’utiliser les jarres émaillées qu’ils avaient l’habitude d’utiliser pour faire vieillir leurs différentes boissons alcoolisées. En fait, il prit cette précaution parce qu’il savait que la plupart des membres de ‘Abd al-Qays étaient alcooliques.[8]

Les Ash’aryines et des gens du Yémen vinrent à Médine en chantant, en chemin, des vers exprimant leur grande hâte de rencontrer le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui). Ces vers disaient: «Demain nous rencontrerons nos frères, Mohammed et ses compagnons.». Lorsque ce dernier les vit arriver, il dit à ses compagnons: «Les gens du Yémen sont venus vous voir. Ils possèdent l’âme la plus tendre et le cœur le plus noble. La foi appartient au Yémen et la sagesse appartient au Yémen.»[9]

Le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) avait envoyé Khalid ibn al-Walid au Yémen, avec un groupe de compagnons, pour y inviter les gens à l’islam. Il y passa six mois durant lesquels il leur prêcha l’islam de façon régulière, mais nul ne l’embrassa. On assigna donc à ‘Ali la même responsabilité; il partit ainsi pour le Yémen où, une fois sur place, il lut aux gens une lettre que le Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) avait fait rédiger à l’intention des gens de Hamdan. La tribu tout entière embrassa alors l’islam et ‘Ali fit immédiatement parvenir cette nouvelle au Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui). Il se prosterna pour remercier Allah et, relevant sa tête du sol poussiéreux, il dit: «Que la paix soit sur les gens de Hamdan! Que la paix soit sur les gens de Hamdan!»[10]

Une délégation composée de quatre cents hommes de la tribu de Mouzayna vint rendre visite au Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui). Puis, une autre délégation composée de chrétiens de Najran vint le voir à son tour. Parmi cette dernière, on retrouvait soixante personnes à dos de mulet, dont vingt-quatre étaient des chefs et des ecclésiastiques, parmi lesquels Abou Harith, le grand érudit de leur religion. Ce dernier était honoré par les rois de Byzance en raison de son savoir très étendu; ils lui accordaient des bourses importantes et avaient fait construire des églises pour lui. Certains versets coraniques concernant ces gens furent d’ailleurs révélés à cette occasion.[11]

Cette délégation de Najran était venue voir le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) après avoir reçu de lui une lettre d’invitation à l’islam. Ils lui posèrent un certain nombre de questions et reçurent les réponses directement d’Allah par l’intermédiaire de versets qui furent plus tard inclus dans la sourah al-Imran.[12] Comme ils restaient hésitants, le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) leur proposa une moubahala,[13] c’est-à-dire une rencontre solennelle au cours de laquelle des représentants de la tribu devaient convoquer non seulement leurs hommes, mais leurs femmes et leurs enfants également pour prier sincèrement Allah et invoquer Sa malédiction sur le groupe qui ne respectait pas Ses révélations. Mais les chrétiens, inquiets des conséquences pouvant découler de cette proposition, refusèrent. Le jour suivant, ils vinrent voir le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) et l’implorèrent de leur accorder la protection de l’État islamique en échange du paiement de la taxe. Le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) leur donna un document précisant le montant de cette taxe et envoya Abou ‘Oubayda ibn al-Jarrah avec eux en disant: «Il est l’administrateur des affaires de ces gens.».[14]

Le Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) se réjouit de l’arrivée d’une délégation de Toujib. Ils lui posèrent un certain nombre de questions sur différents sujets et il fit rédiger ses réponses pour eux. Puis, ils demandèrent à en savoir plus sur le Coran et la Sounnah, ce qui amena le Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) à ressentir une profonde affection pour eux. Il dit à Bilal de les recevoir avec tous les égards, mais après seulement quelques jours à Médine, ils exprimèrent le désir de retourner chez eux. Lorsqu’on leur demanda la raison pour laquelle ils souhaitaient déjà partir, ils répondirent: «Nous voulons retourner chez nous pour dire aux nôtres que nous avons rencontré le Messager d’Allah. Nous voulons leur rapporter les discussions que nous avons eues et les réponses qu’il a apportées à nos questions.» Ils retournèrent donc chez eux et rendirent à nouveau visite au Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) au cours du pèlerinage de la dixième année de l’hégire, alors que celui-ci était à Mina.[15]

Vinrent ensuite d’autres délégations de Bani Fazara, Bani Asad, Bahra et ‘Adhara, qui acceptèrent toutes l’islam. Le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) leur promit la conquête de la Syrie. Puis, il leur interdit d’avoir recours aux voyants pour tenter de connaître le futur et leur ordonna de cesser d’offrir les sacrifices qu’ils avaient l’habitude d’offrir jusqu’alors. Il leur dit que l’unique sacrifice accepté en islam et donc licite était celui fait à l’occasion de l’Eid al-Adha.

Lorsque les délégations de Bali, Dhi Mourrah et Khawlan vinrent lui rendre visite, le Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) les interrogea sur l’idole de Khawlan[16], qu’ils avaient l’habitude de glorifier. Ils répondirent: «Qu’Allah te bénisse! Allah l’a remplacée par ce avec quoi Il t’a envoyé à nous. Il y a cependant quelques vieilles personnes et femmes séniles qui y sont dévouées, mais nous avons l’intention de la détruire lorsque nous retournerons chez nous.»[17]

Par la suite, des délégations de Mouharib, Ghassan, Ghamid et Nakh’a[18] vinrent également rendre visite au Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui).

Tous ces envoyés des tribus arabes, qui vinrent à Médine, apprirent l’islam, découvrirent la personnalité du Prophète et son comportement irréprochable, et gagnèrent à côtoyer ses compagnons. Des tentes furent souvent montées pour eux dans la cour même de la mosquée du Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui), là où ils pouvaient voir en quasi permanence des musulmans offrir leurs prières et réciter le Coran. Ils s’exprimèrent de façon très franche, posèrent beaucoup de questions, auxquelles le Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) répondit en toute honnêteté; il leur expliqua la sagesse de l’islam et leur récita plusieurs versets du Coran, qui affermirent leur conviction et tranquillisèrent leur cœur.

LA CONVERSATION DU PROPHÈTE AVEC UN PAÏEN

Peut-être que l’un des traits les plus marquants du caractère des Arabes de l’époque était leur franchise et leur franc-parler, au point où ils en étaient parfois brusques et effrontés. La conversation qui eut lieu entre Kinana ibn ‘Abd Yalil, un chef païen, et le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) illustre bien la rudesse des gens du désert.

Kinana dit: «Pour ce qui est de l’adultère, la plupart d’entre nous demeurent célibataires ou ne peuvent se marier[19]; alors nous ne pouvons nous en passer.» Le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) répondit: «Cela est illicite pour vous. Allah a ordonné: n’approchez point la fornication. En vérité, c’est une turpitude et quel mauvais chemin!» (Coran, 17:32)

Kinana dit: «Et qu’as-tu à dire au sujet de l’usure? La totalité de nos biens provient de l’usure.» Le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) répondit: «Vous avez le droit de reprendre la somme originale que vous avez prêtée, car Allah a ordonné: «Ô les croyants! Craignez Allah et renoncez au reliquat de l’intérêt usuraire, si vous êtes croyants.» (Coran, 2:278)

Kinana dit: «En ce qui concerne le vin, c’est le produit de nos terres et nous ne pouvons nous en passer.» Le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) répondit: «Allah l’a interdit. Puis il récita le verset: «Ô les croyants! Le vin, le jeu de hasard, les pierres dressées, les flèches de divination ne sont qu’une abomination, œuvre du diable. Écartez-vous en, afin que vous réussissiez.» (Coran, 5:90)

Kinana dit encore: «Qu’as-tu à dire au sujet de l’idole Rabbah?» «Détruits-la», répondit le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui). Kinana et ses compagnons furent interloqués par cette réponse. Ils protestèrent: «Si Rabbah savait que tu veux la détruire, elle achèverait tous ses prêtres!» Alors ‘Omar intervint: «Ô ‘Abd Yalil, malheur à toi! Comme tu peux être ignorant! Rabbah n’est rien d’autre qu’une pierre!» Mais Kinana et ses compagnons répondirent rageusement: «Ibn al-Khattab, nous ne t’avons rien demandé!» Puis, se tournant vers le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui), Kinana dit: «Tu peux la détruire si tu veux, mais nous, nous ne pouvons pas.» Alors le Messager leur dit: «Je vais envoyer avec vous une personne qui le fera à votre place.» La délégation quitta donc le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui). Mais juste avant, ils lui demandèrent de leur désigner un chef. ‘Outhman ibn Abi al-As fut choisi pour remplir cette responsabilité. C’était le plus jeune d’entre eux, mais le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) avait remarqué chez lui un certain enthousiasme à apprendre la religion, et il avait également appris une partie du Coran avant même de quitter Médine.[20]



LA ZAKAT ET LES DONS DE CHARITÉ



L’ordre divin rendant obligatoire, pour les musulmans, le paiement de la zakat (taxe annuelle à taux fixe et proportionnelle à la valeur des biens de chaque individu) fut révélé au cours de la neuvième année de l’hégire.[21] Le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) envoya des gens collecter cette taxe chez tous les fonctionnaires désignés dans les régions où les gens avaient embrassé l’islam.



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[1] Majm’a Bahar oul-Anwar, vol.V, p. 272.

[2] Ibn Hisham, vol. II, pp. 560-68.

[3] Ibn Hisham, vol. II, p. 574.

[4] Zaydoul-Khayl signifie “Zayd des Chevaux” et Zaydoul Khayr, “Zayd de la Bonté». Le Messager (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) préférait les noms ayant une bonne signification.

[5] Boukhari, Kitab oul-Maghazi.

[6] Ibn Hisham, vol. II, p. 574.

[7] Ibn Kathir, vol. IV, pp. 62-63.

[8] Zad al-Ma’ad, vol. II, p. 28; Sahihain, rapporté par Ibn ‘Abbas.

[9] Boukhari. Dans une autre version: «et la meilleure compréhension de la foi» vient tout de suite après le mot «sagesse».

[10] Zad al-Ma’ad, vol. II, p. 33.

[11] Zad al-Ma’ad, vol. II, pp. 35-36.

[12] Versets 1 à 34, sourah al-Imran.

[13] Verset 3:61.

[14] Ibn Kathir, vol. IV, p. 100; voir aussi Boukhari.



[15] Zad al-Ma’ad, vol. II, p. 43.

[16] Ibid., pp. 44-47

[17] Ibid, p. 47

[18] Ibid., pp. 47-55

[19] Peut-être Kinana voulait-il dire qu’ils ne pouvaient se marier parce qu’ils passaient le plus clair de leur temps à l’extérieur, faisant partie de caravanes commerciales.

[20] Zad al-Ma’ad, vol. II, p. 25

[21] Tarikh Tabri, vol. IV, p. 724.
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